Dans l’histoire des grandes mutations, certains visages discrets marquent les esprits non par le bruit qu’ils font, mais par l’empreinte durable qu’ils laissent. Elhadj Mohamed Lamine Sy Savané, Ministre directeur de cabinet de la Primature, est de ceux-là. Loin des projecteurs et des tribunes médiatiques, il œuvre inlassablement sur le terrain, porté par une conviction : rassembler les Guinéens autour des idéaux du CNRD et du leadership du Général Mamadi Doumbouya.
Tandis que d’autres préfèrent la lumière des réseaux sociaux et la rhétorique grandiloquente, Sy Savané choisit l’action silencieuse, mais déterminée. De Kankan à sa ville natale de Boké, en passant par les localités les plus reculées de Kindia et N’Zérékoré, il parcourt sans relâche les routes du pays, affrontant chaleur, poussière et intempéries. Son objectif est clair : dialoguer avec les populations, expliquer, rassurer, fédérer.
Ce qui distingue son engagement, c’est sa constance et sa sobriété. Sans mise en scène, sans quête de gloire personnelle, il se consacre à une mission profondément patriotique : semer les graines de la cohésion, de la souveraineté et du développement. Dans chaque village, dans chaque hameau, il écoute, échange, et construit un lien de confiance avec les citoyens, loin du tumulte des discours politiques.
Militant actif du soutien aux acquis du CNRD, Elhadj Mohamed Lamine Sy Savané se démarque par une rare humilité. Aucune volonté de paraître, aucune ambition personnelle affichée. Ce qui le motive, c’est la certitude que le changement durable repose sur l’adhésion collective, sur la force tranquille des actes plutôt que sur le vacarme des mots.
Sa méthode est simple : être présent, partout, tout le temps. Prochainement attendu à Mamou, il poursuivra sa tournée nationale avec la même ferveur, conscient que c’est au contact direct des populations que naît l’espoir d’une Guinée unie et résolument tournée vers l’avenir.
Dans un contexte où les doutes sur la sincérité politique persistent, Elhadj Mohamed Lamine Sy Savané redonne du sens à l’engagement. Son action est un rappel fort : le militantisme authentique ne se proclame pas, il se vit. Il ne se mesure pas à l’audience d’une publication, mais à l’impact sur le terrain.
Ces hommes de l’ombre, artisans silencieux du progrès, sont les véritables piliers de la transformation. Leur combat, souvent ignoré, mérite reconnaissance et respect. Car c’est grâce à eux que les idées prennent racine, que les peuples se mobilisent, et que les nations avancent.
Par Ousmane Bangoura






